Etat Libre d'Orange Eloge du Traître

Name: Eloge du Traître
Brand: Etat Libre d'Orange

Eau De Parfum

2006

Automne Hiver Printemps

Unisex

Antoine Maisondieu

pin patchouli laurier cuir absinthe

Popularité6

🏆 Iconicité7

Longévité8

Sillage7

Prix7

Séduisant Non-conformiste Provocateur

À propos de ce parfum

Eloge du Traître de Etat Libre d'Orange présente un profil herbacé mixte dévoilé en 2006. Ouverture sur pin, absinthe, laurier. Cœur marqué par jasmin, géranium, clou de girofle. Fond construit autour de musc, cuir, patchouli. Un accent particulier est mis sur l'accord herbacé pour guider la lecture olfactive. La progression relie chaque étage sans rupture brusque pour conserver une lecture claire et structurée. Créé par Antoine Maisondieu, le sillage reste fidèle à cette intention. Sa palette fonctionne bien pendant Automne, Hiver, Printemps sans perdre son équilibre.

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Accords dominants

aromatique herbacé boisé épicé frais épicé chaud

Pyramide olfactive

Tête

Cœur

Fond

Interprétation olfactive

« Éloge du Traître » d'Etat Libre d'Orange, lancé en 2006, est une Eau de Parfum Boisée Aromatique provocante d'Antoine Maisondieu. Ce parfum unisexe célèbre le « traître » rusé, s'ouvrant sur des notes vives de feuille de laurier, de pin et d'armoise. Son cœur dévoile le clou de girofle, le géranium et le jasmin, avant de s'installer sur une base profonde de patchouli, de cuir et de musc. Une fragrance audacieuse et non conventionnelle pour ceux qui osent défier.

Dates clés

2006

Lancement du Parfum

Éloge du Traître, une Eau de Parfum Boisée Aromatique, est lancée par Etat Libre d'Orange, créée par Antoine Maisondieu.

Anecdotes

Anecdote n°1

Le parfum est conçu comme un hommage aux « traîtres » historiques et mythiques tels que Judas, Brutus et Dalila, célébrant leur ruse et leur fidélité à eux-mêmes.
Anecdote n°2

Le nom « Éloge du Traître » incarne parfaitement la réputation d'Etat Libre d'Orange de créer des fragrances audacieuses et conceptuelles.
Anecdote n°3

La marque fait une référence ludique à l'histoire biblique de Judas, indiquant que le « prix à payer » pour ce parfum est de « 30 deniers ».